“Dans les années 1970, j’ai moi même mangé des feuilles d’arbres pour survivre. Je pensais que cette époque était révolue. C’est honteux la situation à Djibo. (.. ). Je me sens en parti responsable(…). Les programmes agricoles qui ne collent pas et qui consomment de l’argent, c’est ça le problème du Burkina Faso. (…). On ment dans les rapports.”
Nous avons posé cinq questions à François Traoré, premier président de l’Union Nationale des Producteurs de Coton du Burkina, sur l’insécurité alimentaire au Burkina Faso, et le plan opérationnel d’appui à la campagne agricole de saison sèche. Suivez son décryptage sur la chaine YouTube de Afriktilgre.
Sougrinoma Ismaël GANSORE
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